L’écho d’une bénévole du chantier
Bien sûr il y a la bétonnière, les gamates pleines d’enduit (sable du terrain, paille, argile), le treuil, les platoirs et les truelles, la scieuse, le compresseur et l’agrafeuse-cloueuse pour fixer les cannisses sur les tasseaux, le chocopops que l’on bourre derrière (comprenez un mélange balle de riz-argile pour l’isolation phonique des cloisons) avant d’enduire…
Mais surtout il y a l’accueil : Merci Cédric, Seb, et les autres « chef de chantier ». Le café du matin, histoire de se rencontrer avant de commencer, puis le choix du travail de chacun selon ses compétences, l’envie de découvrir et l’humeur du moment. Le plaisir du travail ensemble ou dans des pièces voisines, les dessins sur l’enduit « pour que la couche suivante accroche mieux ». Même la « vaisselle » du soir était bienvenue, gamates, seaux et outils rincés : « c’est fini pour aujourd’hui ».
Ensuite c’est selon, une bière fraiche en échangeant, ou juste une douche et s’effondrer sur le canapé, une virée avec d’autres à Dieulefit (surprise d’un concert dans l’Eglise, d’une soirée musique et rhum arrangé…).
J’ai même eu la chance d’être là un week-end CA (mensuel). Moi qui venais découvrir les intérieurs « basse consommation » et le fonctionnement du groupe, j’ai été exaucée « Merci la Vie » !
Et pour agrémenter le tout, les repas de midi : beaux, bons, copieux, variés. Merci et Bravo aux cuisinier et cuisinières !
« Venez découvrir et participer
ici on donne et on reçoit
c’est la Vie, et c’est Bon ! »
Isabelle T.